17 sept. 2008

Mongolie

Petite mise a jour rapide en attendant d'avoir un peu de temps. Je suis de retour en France depuis 2 semaines, après une fin de voyage agitée, j'ai d'abord raté mon train Ulan Bator-Moscou, arrivé sur le quai alors qu'il sortait tout juste de la gare, j'ai finalement pu le rattraper après une course effrénée de 3h de taxi. Après un court séjour a Moscou j'ai continué en Lettonie d'où j'ai finalement prit un bus pour la France, traversant au passage une tornade en Pologne qui nous a retenu plusieurs heure, et enchaîné sur un accident en belgique mais me voila arrivé, après cette année sur les routes d'asie. Beaucoup de choses à s'occuper depuis le retour, donc je prendrai le temps de raconter cette fin de périple dès que ça se serra calmé. Pour patienter quelques clichés de mongolie, d'autres arriveront bientot.

























14 juil. 2008

Pekin, Chine

Me voila arrivé à Horrot, capitale de la Mongolie Intérieure (province chinoise), et pour la première fois depuis 6 mois j'ai du sortir le pull du sac! On remonte au nord et ça se rafraîchi, c'est pas désagréable après l'habitude de la fournaise sud-asiatique, où la chaleur combinée à l'humidité et à la pollution peut devenir vite épuisante.

J'ai quitté ce matin Pékin, après 5 jours dans la capitale, pas beaucoup de sight-seeing, mais pas mal d'affaires à régler et d'achats difficiles ailleurs. Une pièce de rechange pour mon appareil photo, réparation de mon disque dur lecteur de carte mémoire, un nouveau chapeau, des écouteurs pour le baladeur,... Donc au final j'ai arpenté la ville d'un bout à l'autre, connaissant la plupart des stations de métro par coeur, beaucoup de marche, la ville est vraiment gigantesque, mais pas de visites de pagodes, temples, ou autres attractions à l'exception du Temple du Ciel. Leurs tarifs sont de toute manière décourageants, il faut payer pour tout, et souvent plusieurs fois pour un même endroit: un ticket donnant le droit d'entrer dans un parc comprenant plusieurs édifices, puis un nouveau guichet pour entrer dans les temples en question, un autre pour le petit musée qui les jouxte, on sens bien l'idéal communiste: le profit, toujours plus de profit (à moins que ça ne soit pas communiste, je suis plus sûr tout d'un coup...)

Que dire de plus, mes jours suivant ont confirmé la première impression de mon retour en Chine, un manque de respect, de politesse, et d'égards, vis a vis des étrangers, mais aussi entre eux dans certaines occasions. Je parle ici de choses élémentaires, qui dépassent le cadre des différences culturelles. Pour avoir vu au cours de mes voyages un certain nombre de pays, j'ai pu me rendre compte des différences entre les modes de vie, tabous, ou coutumes d'une région à l'autre du globe. Cracher sera accepté ici en chine alors que cela sera considéré comme vulgaire en Europe, on évitera d'entrer dans une maison en gardant ses chaussures dans les pays musulmans, se moucher publiquement sera très mal vu en Asie Centrale, finir toute son assiette en Chine est offensant pour son hôte alors que c'est plutôt apprécié lorsqu'on est invite au moyen orient, tous ces exemples sont a ranger dans la catégorie des différences culturelles, et il n'y a donc aucun jugement a porter dessus. En revanche quand il s'agit de simple politesse, de respect, d'entraide, la oui je me permet de juger. Quand après avoir passé 5 min en équilibre sur l'échelle du train pour agencer les sacs afin de faire de la place pour le mien et qu'au moment ou je redescend attraper celui ci 3 gars postés à observer mon manège s'empressent de mettre les leurs à la place libérée, la ça devient agaçant. Quand ils ont bien vu que je suis en train d'essayer d'y faire rentrer mon énorme sac qui ne passerai dans aucun autre espace et que je leur demande donc gentiment de reprendre les leurs, petits, qui rentreront aisément sous les lits ou un peu plus loin, et que tous me disent non d'un air méprisant ça devient plus énervant. Quand au final face à tant de mauvaise volonté et de moquerie je me décide à les retirer moi même, soulève les 30 kilos de mon sac a bout de bras pour les glisser dans le compartiment à 2 mètres de haut, tache qui s'avère un peu délicate, que j'arrive à le maintenir d'une main en équilibre contre le rebord pendant que de l'autre je me saisit de l'échelle pour grimper un peu plus haut et que doucement, très doucement je commence à perdre prise tandis que le sac glisse dangereusement vers la droite, et que non seulement les 3 gars mais plusieurs autres, debout juste a cote de moi en attendant pour passer, se contentent de me regarder me casser la gueule pendant que mon sac s'écrase par terre, sans qu'aucun n'ai daigné tendre le bras pour le retenir ou me porter assistance comme on l'aurait vu dans tous les wagons de train du reste du monde, mais aient plutôt préféré contempler le spectacle du jeune blanc qui galère à hisser son sac en se foutant de ma gueule en chinois, la j'ai vraiment envie de mettre en pratique les cours de boxe pris au Laos. Des exemples comme celui la j'en ai beaucoup, ils seraient trop long a tous raconter, mais illustrent l'atmosphère à laquelle on est la plupart du temps confronté.

Je parlais y a 4 mois de la sauvagerie observée à la gare lors de l'achat des billets et de la montée dans le train, où cela a dégénéré jusqu'au coups de poing 2 fois sur les 4 fois où j'avais prit le train, ce temps est révolu! Dans le souci de faire bonne figure pour les Jeux j'imagine, il y a maintenant un agent chargé de l'embarquement à l'entrée de chacun des wagons du train, ça en fait beaucoup, mais ça évite les débordement. Entre autres changements dus à l'arrivée des jeux on peut citer le relâchement de la censure internet : beaucoup de sites sont miraculeusement débloqués, dont le mien! ou wikipedia, blogspot... Bon, 'Reporter Sans Frontières' reste inaccessible, faut pas trop en demander... Autre effort, une campagne de sensibilisation contre les crachats, et l'interdiction de fumer dans les lieux publics, qui est dure à faire respecter, si les signes 'No Smoking' fleurissent partout, personne n'y prête attention, sur ce point en tant que fumeur je ne vais pas me plaindre, on fume au resto, dans le bus, dans les centres commerciaux, jusqu'à dans les hôpitaux où aussi bien les docteurs que les patients sous perfusions crament leur clope dans le couloir. Dernier changement relevé, tous les hôtels se doivent maintenant d'accepter les étrangers dans les villes acueillant les Jeux, pas ailleurs, malheureusement, où seuls certains hôtels accrédités par le gouvernement y sont habilités (dans l'ouest du pays on s'est fait virer de nombreuses fois pendant qu'on parcourait la ville à la recherche d'un lit...).

Malheureusement on change difficilement les traditions et si on les empêche de se piétiner à la montée dans le train en y postant assez de gardes, on retrouve le même problème à 100 mètres de là pour prendre le bus qui descend dans le centre ville. Sur le trottoir 300 personnes (au bas mot!), dans le bus qui arrive seulement une quarantaine de places, vous devinez le problème (300>40). Dans d'autre endroits ça pourrait se résoudre par une file d'attente, ici c'est chacun pour soi! Je ne m'étonne pas vraiment d'un véhicule chargé au double de sa capacité, mais dans les autres pays les gens s'y entassaient de façon plus civilisée, en grimpant l'un après l'autre jusqu'à combler le moindre espace disponible, ici ce qui surprend c'est le chaos absolu dans lequel c'est fait. Une mêlée sauvage qui à chaque bus qui arrive se débat, hurle, et pousse d'une force déchaînée vers le précieux sas d'entrée. Pas de scrupules, Mamie se fait plaquer violemment contre le bus, tant pis pour elle, fallait qu'elle pousse plus fort, monsieur lâche la poignée de sa valise en grimpant la première marche, il se fait projeter en avant par la horde derrière lu, et son sac toujours devant l'entrée se retrouve piétiné sans remords par le reste de l'assemblée. A la fermeture des portes le dernier occupant fini presque toujours le bras bloqué à l'exterieur, la main dehors avec la valise qui dépasse du bus. J'insiste parce que c'est dur d'imaginer sans l'avoir vu, c'est vraiment effrayant, bien au delà d'une simple foule qui pousse, la c'est violent, sans retenue, sans aucun état d'âme, et en plus complètement idiot, même quand le bus est clairement plein, qu'il reste peut être 2 ou 3 places, les plus éloignés, qui ont entre eux et la porte encore une cinquantaine de personnes continuent de pousser furieusement et de distribuer les coups de coude comme s'ils pensaient pouvoir y arriver, je me retourne, essaye de les regarder d'un air qui leur ferai comprendre que c'est inutile, ils sont complètement en transe, les yeux dans le vide a continuer de se debatre. Triste spectacle...

Pour ensuite permettre au bus de s'extirper de la foule compacte qui l'entoure un vigile joue de la matraque, l'allure commando, crane rasé, oreillette, lunettes noires, pantalon militaire et un tee-shirt arborant 'Special Forces'. Il m'a fallut 8 mêlées consécutives pour arriver à enfin entrer. A l'interieur, des télés diffusent un joli spot du gouvernement où des représentants de différentes ethnies de Chine vous souhaitent bienvenue dans leur langues respectives (y compris un Ouygur et un Tibétain, c'est beau la propagande...), pour conclure par "Différentes façons de le dire, mais partout un même sens de l'accueil". Eh ben les gars y'a du boulot!

Ce message est véhément, je sais, mais c'est le résultat de beaucoup de colère accumulée vis a vis de chinois sans respect, qui méprisent ouvertement le visiteur. Comme a mon dernier post je vais redoubler de prudence pour ne pas faire de généralisation abusive, j'ai croisé durant ce séjour des personnes ouvertes, agréables, Johnny par exemple (beaucoup de chinois prennent des noms anglais), qui reconnaitra peut etre son nom sur le site, Ma, une vieille grand mère qui m'a appris un peu de mandarin autour d'un café, et quelques inconnus au hasard de mes balades qui m'ont simplement donné une direction, avec le sourire, au lieu de m'envoyer bouler, ou d'autres qui sont venu me parler au restaurant, intrigués. Ces gens la sont malheureusement trop rares. S'il faut finir sur une touche positive pour ne pas décourager les voyageurs comptant venir visiter la Chine sachez que les provinces autonomes de Chine (le Tibet, le Xinjiang et la Mongolie Intérieure) comptent certes un nombre croissant de chinois Han, mais restent majoritairement peuplées d'ethnies aux traditions plus accueillantes, c'est le cas des musulmans ouigurs, des tibetains, et des mongoles. Enfin s'il est deux choses à reconnaître aux Hans, c'est la qualité de leur cuisine (et croyez moi ça aide, si en plus on avait droit au régime kirghize on tiendrai pas longtemps) et la beauté des femmes (la encore après l'Asie Centrale on apprécie!).



























































7 juil. 2008

De retour en Chine !



Ni Hao!

Ça y est me voila arrivé à Kunming, en Chine, après 50 longues heures d'un bus rempli de chinois ne parlant ni anglais ni lao. On se remet vite dans l'ambiance chinoise, à la frontière fouille intégrale du sac, juste pour moi bizarre?! Allant jusqu'à parcourir les photos de mon appareil, puis ouvrir et renifler chacune des plaquette de médicament de ma trousse à pharmacie, ils sont balaise ces officiers, sans chien, sans rien, ils pensent pouvoir sentir l'odeur de drogue dans mes comprimes de Doliprane! Évidement la fouille a pris du temps, et mes chauffeurs impatients ont préféré ne pas m'attendre et partir manger avec les autres passagers, hors de vue, un kilomètre plus loin.

Besoin d'un peu de change à l'arrivée, ils sont la pour ça, à essayer de me refiler des billet de 5 jiao à la place de 5 yuan (10jiao=1yuan), pas de bol c'est pas ma première fois en Chine je sais les reconnaître. Mes premiers mots échangés après la frontière : "Mai Yo", littéralement "Y'a pas", en demandant les toilettes dans un restaurant. Réponse reçue après 3 ou 4 fois a insister auprès d'un serveur essayant de son mieux de m'ignorer pendant que je lui parlais, demandant alors poliment "où y en a t'il ?" dans mon mandarin rudimentaire, un deuxième Mai Yo plus agressif m'a gentiment informé qu'ici il n'y en avait pas, toujours sans un regard... Mai Yo est une des phrases les plus souvent entendu par un touriste en Chine, et le sens réel selon l'intonation couvre : j'ai pas, je sais pas, degage, je veut pas faire l'effort de te parler, m'emmerde pas, cherche pas je compte pas t'aider...

Arrivé à Kunming je me rend au guichet pour m'informer des départs de bus partant pour Pékin le lendemain, évidement on ne parle pas anglais, mais j'arrive à me faire comprendre, en revanche je n'ai pas pu saisir la réponse de la guichetière, apparemment de mauvais poil, mais ces grands gestes me disant de sortir de la queue tout en me gueulant dessus en chinois étaient plus explicites, body language! Une gentille jeune fille derrière moi dans la file parlant anglais m'a finalement aidé et indiqué qu'il n'y avait pas de bus direct pour Pékin, que la guichetière me disait d'aller voir à la gare ou à l'aéroport. Ça attendra, direction l'hôtel pour déposer les bagages, selon ma carte je dois prendre le bus numéro 3, il y en a un qui passe justement en face, arrêté a un feu, presque vide. Je me faufile entre les voitures pour arriver à la porte, je tape à la vitre, le feu est toujours rouge, le chauffeur me regarde une seconde puis m'ignore, je retape, il me fait non de la tète, et me signale une nouvelle fois de dégager avec de grands gestes de la main, c'est formidable la communication corporelle, on arrive toujours a se faire comprendre! C'est pas grave, j'ai trouvé l'arrêt de bus après dix minutes de marche et je suis finalement arrivé à mon hôtel une demi-heure plus tard. Je vois écrit qu'il peuvent réserver les billets de train, je demande donc de me booker le train de demain, les tickets partent vite... Pas de problème, mais il faut payer a l'avance (en Chine c'est comme ça, toujours l'argent d'abord, que ça soit pour un café, une nuit d'hôtel, internet,...), j'ai pas changé assez d'argent à la frontiere, je demande donc s'il peuvent me faire la réservation quand même, avant que ça soit plein (en général faut être chanceux pour obtenir un billet la veille, ils s'écoulent vite...), 'No, give money first'. La banque n'ouvre que dans une heure et je voudrais être sur d'avoir mon billet, je peut vous laisser 100 dollars ou mon passeport comme garantie et je vous apporte l'argent dans deux heures? 'No, you come back when you have money'. Me voila donc bon pour une heure d'attente avant d'aller changer mes dollars, j'en profite pour me remettre à écrire dans ce blog laissé en pause depuis longtemps.

Voila le résumé de ma première matinée de retour dans l'Empire du Mileu, ça donne un bon avant-goût. Quelques réserves toutefois, ou précisions (je ne voudrait pas m'attirer les foudres de lecteurs sinophiles...) : ceci n'est pas une accusation en bloc contre toute la population chinoise, il m'est arrivé de rencontrer des personnes très aimables, mais c'est tout de même l'impression qui s'est dégagé lors de mes séjours.

Laos, Cambodge, Birmanie, résumé des 4 derniers mois

Le sax de Cannonball Adderley dans les écouteurs, le ventre encore serré du départ, le paysage défile à la fenêtre, me revoilà sur les routes pour l'été. Je repart d'où je suis venu, cap vers la Chine, puis quelques autres milliers de kilomètres pour rentrer, la boucle reste a boucler. Chine, Russie, Mongolie, Letonie, peut être Pologne et enfin France, ça sera plus rapide qu'a l'aller mais ça promet!

Au dernier message (y a un petit bout de temps...) j'annonçais mon départ au Cambodge avec Hélène, pas grand chose à en dire en fait, le séjour y a été court, agréable mais pas transcendant, j'imagine qu'en s'éloignant des coins touristiques il doit y avoir plus d'intérêts. Phnon Phen, la capitale, a du charme cependant, je m'y verrai bien y vivre! Vientiane était très bien, mais manque peut être un peu d'animation pour y rester plusieurs années, Bangkok me plaît pas beaucoup, dur à expliquer mais mauvais feeling, ville surchargée... En revanche Phnon Phen est de taille correcte, avec de la vie, une bonne atmosphère. Quelques photos en vrac du pays pour vous faire une idée!


Phnon Phen


Sortie du marché, Phnon Phen


Mosquée, Phnon Phen


Gare, Phnon Phen


Musée du Génocide, Phnon Phen


Musée du Génocide, Phnon Phen


Angkor


Angkor


Angkor


Angkor










Après le retour du Cambodge un dernier mois de vie laotienne, boulot pour Hélène, mon contrat venais pour moi de se terminer, ce qui m'a permis de profiter de Vientiane paisiblement: grasses matinées, parties d'échec dans l'après midi, la boxe deux fois par semaine, les apéros le soir avec les amis, relax. A la fin du stage d'Hélène, mi-juin, nous restant deux semaines avant son vol retour pour la France on s'est finalement décidé pour un dernier voyage, la Birmanie, qui a été notre coup de coeur de la région. Pays incroyable! Malgré la situation du pays les gens restent optimistes, et d'un accueil formidable. De grands sourires, des invitation pour un thé, quelques gâteaux, discussions (ils parlent étonnement bien plus anglais qu'au Laos ou au Cambodge). Dure année pour ceux dépendant directement ou indirectement du tourisme, les protestation des moines pendant la haute saison, puis le cyclone, notre première guesthouse n'avait plus eut de pensionnaires depuis un mois et demi. Nombreux ont du fermer le business, ou renvoyer leurs salariés.

Le pays restait difficile d'accès dans la zone du delta, touchée par le typhon, qu'on a donc évité, mais la situation était à peu près redevenue normale à Yangoon. Électricité, communications, eau et infrastructures rétablies. Certains quartiers encore en déblaiement mais dans l'ensemble ça allait. Notre parcours du pays a été assez classique, mais malgré tout formidable, d'autant que comme je le disais on y a croise très peu de touristes. D'abord le lac Inle, notre endroit préfère, calme, de jolis paysages, et de bonnes balades à vélo dans les campagnes ou l'hospitalité était surprenante après avoir fait la Thaïlande et le Cambodge. Ensuite Mandalay, une ville qui grouille, intéressante mais épuisante. La bouffe y est délicieuse, le plat principal est le curry, de boeuf, de porc, de poisson, de poulet, avec du riz ou quelques fois des chapatis. Mais contrairement au curry indiens, pakistanais ou thaïlandais, le curry birman n'est pas relevé. Très savoureux, beaucoup d'épices, mais pas celles qui laissent le palais en feu. Enfin Bagan, l'équivalent d'Angkor au Myanmar, ou sur une dizaine de kilomètre carrés parcourus en charrette à chevaux sont éparpillés des milliers de temples, pagodes, et monastères. C'est je pense le pays ou je reviendrai en Asie du Sud-Est, une ambiance qui contraste fort avec le reste de la région.


Moine dans un restaurant de Mandalay


Nonne, Sagan


Tisseuse, près d'Anamapure


Lac Inlé


Moine, Nyang Shwe


Cultures, Lac Inlé


Marché, Ein Den


Sous le pont U-Bein


Campagnes autour de Nyang Shwe


Village au bord du lac Inlé


Près de Nyang Shwe


En allant à Ein Den


Fabrique artisinale, Mandalay


Lac Inlé


Trottoirs de Mandalay


Lac Inlé


Temple, Mandalay


Pont U-Bein


Reflets, Yangoon


Village sur l'eau, lac Inlé


Embarcadaire, Nyang Shwe


Marché d'Ein Den


Service du repas dans un monastère


Partie de foot, Nyang Shwe


Pagode sur le lac Inlé


Niches à Bouddhas, Bagan


Bagan


Crépuscule, Bagan


Temple, Mandalay


Pagode, Mandalay